A une semaine du lancement de la saison française nous lançons une nouvelle rubrique sur Elitefootblog.
Le "cadet", un des ses "vieux de la vielle" qui hantent les terrains français depuis plus de 20 ans, nous racontera quelques uns des matchs mythiques de l'histoire de nos championnats. Son grand age, évidemment, le rend quelques fois un peu sénile et vous lui pardonnerez bien volontiers, nous l'espérons, les éventuels oublis, erreurs, "enjolivages" de ses histoires et, comme il se doit pour tout "pépé" acariâtre, sa plus totale mauvaise foi...
Les Chroniques du Cadet : 1er épisode
Finale Nationale Juniors 1998 à Thonon Les Bains
A mon sens, cette finale entre les Flashs de La Courneuve et les Cannoniers de Toulon aurait du s’appeler: "Le Poux sur la tête du Chevallier" (en référence aux noms des maires en fonction à l'époque à La Courneuve et à Toulon d'obédiences politiques plutôt opposées!).
Par un temps radieux (c'est dire si c'était un jour exceptionnel, nous étions à Thonon et il faisait beau!), je me préparais, en temps qu’arbitre, à voir un match de haut niveau, les pronostics donnaient un match sans réel favori, tellement les deux équipes avaient dominé leur sujet (et leur conférence) toute la saison.
Pourtant ce fût une première mi-temps à sens unique pour les Cannoniers, qui atomisaient le Flash par un cinglant 18-00 à la pause. Possédant des joueurs de talent ils avaient aussi malheureusement quelques éléments, peut être décomplexés par la couleur politique de leur Maire, sur le terrain et dans les gradins des plus excessifs. Une drôle d'ambiance planait ainsi dans le stade que quelques uns comme moi avaient remarquée. La « noirceur » des drapeaux d'un coin de la tribune face à la « blancheur » de certains autres vous laisse imaginer les propos discrets qui fusaient sur le terrain et les conneries déballées dans les tribunes. Pourtant le règne du "Chevallier" sur le "Poux" ne dura pas. Motivés, passablement énervés, certains dégoûtés, mais gardant ce qui fit la force du Flash ce jour là, une volonté farouche de venir à bout de leurs adversaires du jour, les Courneuviens rentrèrent en action en seconde mi-temps et démontèrent la tête du pauvre Sudiste. La partie bascula. Certains à Toulon se rappellèrent certainement longtemps que le sport donne souvent des leçons de morale à ceux qui confondent... enfin vous aurez compris… Victoire au final 22 à 18 du Flash de La Courneuve. On a depuis viré "le Chevallier" du côté de la Rade. Quand au "Poux" il est toujours en place.
"Quant au Poux" ;)
RépondreSupprimerTu insinues que Toulon a l'époque supportait la politique mise en place... Pfff je jouais cette finale a l'époque et je peux te dire que le poux n'était pas tout rose non plus et que dire de l'abitrage au fait.... lol finalement une belle rencontre
RépondreSupprimerBelle finale au bout du compte mais tout n'était pas rose au niveau du pouc mais aussi du cote du corps arbitral... Enfin c'est la vie.... lol
RépondreSupprimerC'est inadmissible de lire un article pareil! C'est une honte, et un manque de professionalisme évident!
RépondreSupprimerIncroyable!
Je m'arrête là, sinon je vais être censuré!
Cyrille
Canonniers depuis 1998
Vous devriez fermer cette rubrique, elle est plus qu'inutile. De plus, un commentaire de ce type, ne peut se permettre d'être publié. Un rédacteur se doit d'être neutre, et non de favoriser son équipe, or en ce qu'il en est, il se doit d'avoir du respect pour les deux équipes, qui ont fait un très beau parcours. En ce qui concerne cette dernière phrase, il aurait mieux valu ne jamais la dire, je pense que certaines personnes feront place de leur mécontentement. Sur ce, merci de bien supprimé un commentaire des plus inutiles, et si tous les commentaires de cette rubrique seront les même, voire même virer cette rubrique.
RépondreSupprimerAu revoir,
Un Flash, qui gardera son anonymat.
c'est quoi cet article hyper politisé, le grand beau flash contre le méchant toulonnais...
RépondreSupprimerje ne pense pas que les joueurs et les habitants de toulon de l'époque soient tous des nazis en puissance, je trouve ca un peu gerbant et je suis décu par cet article...
quand on en voit la teneur et qu'on se rend compte que la personne qui l'a ecrit est un arbitre de l'époque, on comprend mieux les possibles incohérences et partis pris qui avait émaillé cette finale...
"Bien sale entrée en matière pour cette rubrique qui associe l'image d'un club à la politique extrémiste d'une mairie. Bien triste rappel de heures de certains clubs. En politique comme en football, les hommes changent, ceux à la tête des mairies comme des clubs.
RépondreSupprimerToulon à souffert pendant des années d'une image négative du fait de sa direction Front National et se reconstruit et évolue peu à peu. Quel intérêt 12 ans plus tard de rappeler cela ? qui plus est pour y associer l'image d'un club de Football Américain.
Enfin je terminerais sur le fait que l'arbitre est un individu neutre et n'a pas a porter de jugement personnel sur les actes et les propos tenu par un joueur. Il a pour cela a faire appliquer la regle appliquer des pénalités, exclure, faire un rapport à la fédération si nécessaire. Mais son jugement personnel n'a pas a être connu. Comment peut on croire en la neutralité d'un arbitre lorsque celui-ci tiens compte de la gestion politique de la ville dont fait parti l'un des deux clubs ?
Pour le prochain article il faut pas oublier de parler de la bagarre générale qui à eu lieu à la fin de la finale du casque de diamant cette année et pourtant c'est pas le FN qui est au pouvoir à la Courneuve
Pierrot AMERI
Président des Canonniers
je pense que la personne qui a écrit cet article devrait avoir honte d'elle car créer des pseudos différence un rôle gentil/méchant est complètement inutile surtout plus de 10ans plus tard il faut savoir évoluer dans la vie et se remettre en question sur la réelle perception des choses, car parler pour ne rien dire cela n'a aucun intérêt et je ne trouve pas ça très malin de la part du journal d'avoir publier cet article qui ne parle pas d'un match mais qui ressemble plus à un procès contre l'équipe de Toulon.
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