Proprio-Ambassadeur?
Le fils du fondateur des Steelers Art Rooney, (la légende veut qu'il ait payé son droit d'entrée dans la NFL en 1933 avec les 2500 dollars qu'il avait gagné en pariant sur des chevaux à Saratoga) est déja très impliqué dans l'ile d'origine de sa famille:
Il est le mécéne notamment du Rooney Prize of Irish Litterature et a créé les Ireland Funds une organisation récoltant des fonds pour promouvoir les arts et l'éducation en Irlande.
Il se dit même qu'il s'est beaucoup impliqué comme intermédiaire dans les tractations secrètes qui ont ramené la paix en Irlande du Nord.
Il a soutenu B Obama lors de la dernière campagne présidentielle (avec déja dans l'autre camp l'Arizona du Sénateur Mc Cain!) et fut le principal instigateur de ce qui est devenu la "Rooney Rule", l'obligation lors de toute embauche d'un nouveau head coach en NFL que des candidatures de coach issus des minorités soient examinées.
Le maire de Phoenix fait de la provoc...
Lors d'un rassemblement mercredi, accompagné de Big Red la mascotte du club, il s'est mouché avec une des fameuses "Yellow towels", les serviettes aux couleurs des Steelers que leurs fans agitent frénétiquement lors des matchs de Pittsburgh, avant de la jetter sur le sol.
Voila qui devrait, si cela était possible, motiver encore plus les Steelers pour le match de dimanche.
Gordon joue en tout cas avec le feu, les derniers à avoir maltraité ce symbole de l'équipe de Pittsburgh, les Titans, dont certains joueurs avaient piétinié une "towel" lors du Titans-Steelers de décembre, sont passés à la trappe dès les demies finales de conférence malgré leur statut de numéro 1 de l'AFC....
France: Le Club de la semaine
Chaque semaine nous essaierons de mettre en valeur "le club français de la semaine" après les matchs du week end, afin de souligner les réussites des clubs connus ou moins connus de notre héxagone.
A tout seigneur tout honneur, c'est le Flash de la Courneuve qui décroche la timbale cette semaine. Les quadruples champions Elite dont la domination sur le championnat feraient presque passer la main mise lyonnaise sur le soccer français pour de la rigolade, ont en effet eu une semaine (encore) plus faste que d'habitude. Et pas que sur les terrains d'ailleurs!
Sans M A Soumah mais avec un Laurent Marceline en forme, les séniors ont débuté en fanfare le championnat Elite avec une victoire 20-8 sur le terrain des Cougars de St Ouen l'Aumône. Sans trembler et avec semble t il une grosse marge de progression.
Côté juniors la tâche s'annonçait plus ardue. "Seulement" quart de finalistes l'an dernier, les jeunes Flashs paraissent cette année beaucoup plus redoutables. En tout cas le "choc" entre les deux équipes invaincues de la poule n'en fut pas un: Victoire 35-0 de la Courneuve face aux Vikings de Villeneuve d'Asc (59).
Pendant ce temps là, dans les salons plus calmes de la FFFA, les Flashs recevaient une toute autre reconnaissance. En effet c'est le "père fondateur" du club François Leroy qui est devenu le nouveau Président de la Fédération lors de l'Assemblée Générale Elective. Il succède ainsi à Michel Daum
Pas mal comme week end non?
Le Super Bowl avec des si!
Si Pittsburg gagne :
• 6ème titre ! Record NFL, 5 pour Dallas et San Francisco
• Mike Tomlin sera le 2ème coach de couleur à gagné un Super Bowl, la même année ou le 1er Tony Dungy prend sa retraite !
• Le QB remplaçant Charlie Batch aura sa 2ème bague de SB, le 3ème QB Byron Leftwich sa 1ère, lui qui avait été drafté dans le Top 10.
• Les 3 derniers SB gagné par les Steelers auront été contre des équipes de la NFC West (Rams, Seahawks, Cardinals)
Si Arizona gagne :
• Kurt Warner sera le 1er QB de l’histoire à gagner 2 Super Bowl avec 2 équipes différentes !
• Idem s’il est élu MVP
• Cela sera la 1ère équipe de l’histoire à gagner un SB avec 9 victoires et 7 défaites !
• Ken Whisenhunt aura battu l’équipe avec laquelle il a gagné le SB en 2005 comme Coordinateur Offensif.
Le Super Bowl en Chiffres
• Audience spectateurs : Un Milliard !!!!
• 140 Millions d'Américains ont vu le Super Bowl XLII
• 232 Pays et différents territoire transmettent le Super Bowl, en 34 langues différentes.
• Plus de 3,400 journalistes ou professionnel des médias
• Cout de la publicité : 2,6 Millions de $ pour 30s.
• Plus de 100 Stations de Radio présente.
• Le Super Bowl XL de 2006 fait le double d'audience de la cérémonie des Oscars.
• Plus de 7,5 Millions de fêtes organisées en l'honneur du Super Bowl
• Plus de 1, 5 Millions de TV seront vendus avant le Super Bowl
• La consommation de nourriture lors dimanche du Super Bowl est la plus importante juste après Thanksgiving
Devenez un Dallas Cowboy!!
12 candidats (6 Dbs et 6 Wrs) devront faire leurs preuves devant les caméras et un jury d'anciens et d'actuels Cowboys. Le gagnant aura une des 80 places du roster du début de camp. Après à lui de faire son trou et, allez savoir, de mettre à la retraite anticipée Terrell Owens!
Chocs et Blocs
Et finalement pas surpris non plus par le déroulement de ce match. Avec deux défenses aussi solides et intraitables, c’est ailleurs, fatalement, que devait se faire la différence. Et pour les Ravens il y avait en plus de la bande de Polamalu, deux éléments que les Steelers n’avaient pas eux à gérer: Un public chauffé à blanc et un QB inexpérimenté.
Quand face à Suggs et M Lewis « Big Ben » arriva à improviser assez pour marquer quelques points, chèrement acquis. Flacco lui, encore tendre, paralysé par l’enjeu et la vitesse de la dernière version du « Steel Curtain » ne pouvait rien faire ou presque. Les Ravens avaient réussi à aller au bout il y a quelques années avec un QB aussi médiocre que Dilfer, mais celui-ci avait au moins assez d’expérience pour assurer le minimum syndical. Flacco, rookie, peu habitué après une carrière universitaire dans la petite fac de Delaware à des matchs d’une telle intensité, n’avait tout simplement pas encore les épaules assez larges pour faire face à une telle équipe.
Les Ravens avaient déjà cédé deux fois en saison régulière face aux Steelers. Il n’y avait pas de raison particulière, surtout à Pittsburgh, pour que cela change lors de ce troisième match. Ils ont tout donné. Les chocs et les blocs ont été énormes toute la soirée. Les deux semaines de repos seront les bienvenues pour les corps meurtris de Parker, Roethlisberger et Ward. Mais la victoire est le meilleur des remèdes.
Les Cardinals sont prévenus. A Pittsburgh on est pas tendre avec les oiseaux.
Olivier 1
François 1
« En 1961 j’étais Guard et Linebacker aux Sabres de Châteauroux »
La base de l’Air Force de Châteauroux était une des plus grandes d’Europe comptant jusqu’à 15000 soldats et ses équipes (celle du lycée et celle de la base partageant le même nom: les Sabres) étaient parmi les meilleures du Continent.
David Madril était l’une des « stars » de la première génération du foot américain français. En 1961 il était même un des meilleurs joueurs basés en Europe, membre de la sélection européenne de l’US Air Force qui rencontra cette année là celle de l’US Army. Aujourd’hui âgé de 66 ans, retraité, après une longue carrière dans l’Air Force, installé au cœur des Montagnes Rocheuses il nous a ouvert ses vieux albums de souvenirs pour nous raconter cette époque oubliée du foot américain français.
Quand êtes vous arrivés à Chateauroux?
Chateauroux a été ma première affectation quand à 19 ans j’ai quitté la fac pour m’engager dans l’Air Force. J’y suis resté de 1960 à 1964. J’ai joué au football les deux premières années. En 63-64 j’ai quitté l’équipe de la base pour raisons personnelles mais je participais avec mon escouade au championnat de flag de la garnison. Ce fut une des plus belles périodes de ma vie. J’y ai rencontré ma femme et nous avons eu deux enfants là bas. (sa fille et sa petite fille vivent toujours dans la région de Chateauroux).
Que était votre job sur la base ?
La base de Chateauroux était la plateforme logistique pour tout l’approvisionnement médical des forces américaines en Europe. Je travaillais à l’entrepôt où était stocké ce matériel. Je travaillais avec beaucoup d’employés civils français, 8 étaient directement sous mes ordres.
Quelle expérience du football aviez vous avant d’arriver à Chateauroux ?
J’avais joué en lycée à San José. Je faisais partie de la sélection « All City » 1957 au poste de Line-backer.
Et après votre passage à Chateauroux vous avez continué le football ?
A mon retour du Vietnam en 69 j’ai été affecté en Angleterre et j’ai joué pour la base là bas et aussi pour l’équipe de rugby. Plus tard quand j’ai été affecté dans le Colorado j’ai coaché l ‘équipe des gamins de 11-12 ans de la base. J’ai aussi coaché l’équipe de baseball des jeunes quand j’étais à Ramstein en Allemagne
Vous étiez offensive guard et Linebacker chez les Sabres de Chateauroux , est ce que la plupart des joueurs jouaient en attaque et en défense?
Disons environ la moitié d’entre nous. Je jouais aussi en équipes spéciales ! Je faisais 86 kg pour 1m75 ce qui même pour l’époque était vraiment petit pour un guard mais je compensais avec ma vitesse !
Comment était organisé le championnat ?
En 1960 la ligue accueillait des équipes de l’Army et de l’Air Force basées en France mais en 1961 parce que l’US Army a regroupé ces équipes nous ne jouions plus que contre des équipes de l’Air Force, françaises ou allemandes. Dans les années 50 Chateauroux était une des plus grandes bases d’Europe et il y avait une grande tradition de football sur la base mais quand j’y jouais la base était déjà moins importante et nous ne pouvions rivaliser avec les grandes bases allemandes. (Voir liste des équipes ci dessous)
Il y avait aussi le championnat des lycées ?
Oui on aimait bien aller les voir , ils avaient une bonne équipe. En 1960 ils réussirent à battre l’équipe de la super base de Francfort sur le score de 7-0. Ce fut un tel événement qu’ils firent la une du journal des forces armées ! L’équipe du lycée avait son orchestre, ses cheerleaders ce que nous ne pouvions pas avoir… On partageait le même terrain.
Vous aviez des supporters ?
Disons qu’il devait y avoir environ 500 personnes pour chaque match. On jouait le samedi après midi. Il y avait pas mal de français qui venaient nous voir.
En dehors de ces supporters il y avait d’autre français impliqués dans votre équipe ?
Il y avait notre « trainer »Henri Laboret, c’était un employé civil de la base et il avait été champion de France de boxe poids mouche. Un gars super.
Est ce qu’il y avait une équipe que vous redoutiez ?
Les équipes allemandes étaient les meilleures, beaucoup de joueurs venant de grandes universités, il y avait encore le service obligatoire à l’époque et avant de passer pro beaucoup devaient faire leur service militaire. Les généraux commandant les grandes bases allemandes se débrouillaient pour avoir les meilleurs joueurs, c’était bien pour le prestige de leur base. SHAPE aussi (l’équipe du siège de l’OTAN basée à Paris) avait de gros calibres. Ils avaient notamment Marion Rushing qui après sa première saison de NFL chez les Cardinals avait du faire ses deux ans de service à Paris. Comme moi il était guard et linebacker, jouer face à lui pendant tout un match ce fut une sacrée expérience ! Ensuite il est retourné aux Cardinals et il a fini sa carrière chez les Falcons.
Est ce que toutes les équipes avaient le même style de jeu ?
La plupart d’entre elles, nous compris, utilisaient l’attaque basique « T-Formation » qui était en vogue à l’époque. Comme nous n’avions pas un très bon QB on a aussi utilisé la vieille attaque « single wing » qui n’était plus utilisé que par UCLA à ce moment là. Mais on a pas eu de bons résultats avec cette attaque trop prévisible et on est revenu à la T-Formation.
Quelques matchs mémorables ?
Sans aucun doute notre voyage à Berlin. On a joué contre l’équipe de l’Army là bas. Ils étaient 48 et nous seulement 16. On a perdu 44-12. Mais ce fut surtout l’après match qui m’a marqué ! On devait aller visiter la Porte de Brandebourg et alors qu’on s’est mis en route on a appris que l’on ne pouvait pas y aller : Les russes étaient en train de poser les premiers barbelés là où allait être érigé le Mur de Berlin !
Il y a aussi le match contre SHAPE à Paris. On a dormi sur place, logé dans les Ecuries Royales du Château de Versailles ! A l’époque l’Army utilisait ces bâtiments comme dortoir pour la police militaire.
Et puis après la saison 1961, j’ai été un des arbitres de deux matchs de gala à Perpignan et Toulouse entre l’équipe de SHAPE et celle de la base de Laon. De très bons souvenirs…
Est ce que vous savez que Chateauroux est toujours une des places fortes du football français ?
Non je ne savais pas ! Je savais qu’ils avaient une bonne équipe de soccer mais pas de football ! Je vais à Chateauroux chaque printemps voir ma fille et ma petite fille, l’année prochaine j’essaierai d’aller voir ça ! ! J’ai encore plein de contacts là bas même si malheureusement beaucoup sont décédés maintenant. En 1998 il y a eu une grande réunion des anciens de la base, ce fut fantastique, l’accueil des gens vraiment super !
Vous suivez toujours le football ?
Moins qu’avant, mais toujours oui. Je vis à 3 heures ½ de Denver alors je vais voir les Broncos assez souvent. Aller au stade c’est toujours une super expérience. Comme en NFL je trouve que les joueurs en font trop et oublient que c’est avant tout un sport d’équipe, je suis de plus en plus la NCAA. Je suis un fan de USC.
Propos recueillis par téléphone le 5/12/06
Olivier R.
Les Equipes françaises en 1960-1961 :
France Sports District (FSD)
U.S. Air Force League
Chateauroux * Sabres
Dreux * Vikings
Laon * Rangers
Toul-Rosieres ?
SHAPE (Quartier Général de l’OTAN à Paris) * Indians
Bitburg (Germany) Barons
Les Indians de Paris jouaient sur le site du Camp des Loges.
France U.S. Army League – (liste probablement incomplète)
Bussac (17) Broncos
Chaumont
La Rochelle
Metz
Nancy
Orleans Trojans *
Poitiers Panthers *
Verdun Falcons *
Les villes suivies d’un étoile avaient aussi un lycée américain possédant une équipe de football US.
L’équipe du Lycée américain de Paris portait le nom de Paris Pirates.
Merci à Jenelle Peterson pour son aide et son superbe site : www.chateaurouxamericanhighschool.com
7-47
OK, OK, depuis ce jour là, cette tempête de neige et cette avalanche de points à Foxborough, les Cards ont été quasi parfaits. Ils ont gagné trois matchs de playoffs de manière spectaculaire, à chaque fois donnés perdants avant le match, tout en jouant un football offensif et inventif. Warner ne fait plus du tout ses 37 ans, Fitzgerald ridiculise tout les corners qui ont la malchance de se retrouver sur son chemin et, encore plus fort, ils viennent de jouer dans un stade rempli comme un œuf par LEURS fans, quelque chose que l’on avait plus vu depuis la lointaine époque des Cardinals de St Louis ! Si on ajoute la révélation Wilson qui a lui tout seul transforme la D d’Arizona de « fort douteuse » en « dangereuse » , A Boldin et Breaston deux belles paires de mains qui vous font passer l’envie de mettre toute votre défense sur le dos de Fitzgerald et le revenant E James on pourrait même penser que l’on a là l’équipe brulante qui va surfer sa vague jusqu’au titre suprême…
Oui mais bon, faudrait pas oublier qu’on parle des Arizona Cardinals quand même ! Battre à la suite un bon runner sans support aérien (les Falcons), un QB qui a oublié ses lunettes (Carolina) et une défense qui fait la sieste jusqu’à la mi temps (les Eagles) c’est pas non plus l’exploit du siècle.
Si vous voulez du miracle comparez plutôt la fiche des Steelers à leur calendrier. Ou la chance qu’on eu toutes les équipe de l’AFC de voir les Patriots passer à la trappe avant même le début des playoffs ! Parce qu’à l’arrivée… il faut bien se dire que les Steelers ont accumulé les combats de géants quand les Cards se passaient les nerfs sur une bande de nains. Battre trois fois les Ravens, deux fois les Chargers, atomiser les Patriots sur ce même terrain de Foxborough ce n’est pas rien. Mais c’est ce qui arrive quand on a probablement la meilleure défense NFL depuis les Bears de 85. Si ni Harrisson ni Polamalu n’ont été élu MVP de cette saison c’est avant tout parce qu’ils jouent… dans la même équipe ! Et Pittsburgh restant Pittsburgh vous êtes surs d’un truc : Si vous êtes menés par cette équipe de déménageurs, vous êtes cuits. Pour hacher physiquement et mentalement un adversaire on peut toujours compter sur eux.
Et puis non mais réfléchissez y dix secondes : Steelers- Cardinals !!! Moi je veux bien que cette année il se passe des trucs pas croyables… style un président des US black, le PSG dans le haut du tableau ou le coach de l’OM qui passe l’hiver mais faut pas pousser Mémée dans les orties non plus ! Les Cardinals, la « lose » incarnée battre les Steelers dans un Superbowl ?!!! Y a un peu près autant de chance que ça se passe qu’il y en a que le match se joue sous la neige (c’est à Tampa que ça se passe pour ceux qui se poseraient la question !) ! OK bon ce sera pas 47-7, disons 35-14 et n’en parlons plus.
Le match sera fini quand le « Boss » Springsteen fera son apparition pour faire son show à la mi temps. Son dernier album s’appelle « Working on a dream ». Ca ressemble beaucoup à ce que les Cards ont fait durant ce mois de janvier : Du bon boulot mais les rêves ont une fin, et c’est rarement un « happy end ».
Super Bowl XLIII, Massacre ou Miracle!
Est-on en droit d'attendre un match hyper serré? A priori, non! Mais si on regarde les stats Offensive des Steelers :
Attaque Steelers vs Défense Cardinals (Classement NFL)
En yards
Moyenne par match : 311.9 (22) 331.5 (19)
Course 105.6 (23) 110.3 (16)
Passe 206.3 (17) 221.3 (22)
En points : 21.7 (20) 26.6 (28)
On est en droit de penser que la Défense d'Arizona pourra tenir la charge des Steelers sans aucun soucis, car les Steelers n'ont pas une super attaque. Ils n'ont pas de coureur qui ont atteint les 1000 yards, qui comme vous le savez est une marque des grandes attaques, Willie Parker a couru pour que 791 yards dans la saison régulière! De plus la ligne défensif d'Arizona est assez talentueuse (avec Smith, Robinson et LaBoy, s'il n'est pas bléssé). Côté receveur seul Ward tire l'équipe vers le haut avec 1043 yards. Donc on peut penser que la Défense des Cards va essayer d'écarter Ward de l'équation de l'ataque, en tout cas c'est clair que c'est une clef du match pour eux, vont-ils y parvenir? Est-ce Santonio Holmes (WR) et Heath Miller (TE) pourront-ils prendre le relais?
Va t'on voir un jeu de Massacre! Possible car la Défense des Steelers fait honeur à leur grand passé historique de suprémacie dans le domaine défensif! Ils sont bien sur classé 1er de la ligue sans photo, Baltimore, New York (Giants) et Tennessee sont quand même derrière. Donc, nos chers Steelers devraient sans aucun problème stopper le jeu au sol des Cards, même si Edgerrin James semble revenir à une très grande forme! Les Steelers sont 1er en défense contre le jeu de passe, Arizona étant 2nd de la ligue côté Offensif, on devrait donc voir ici le combat le plus intéressant de ce Super Bowl , Fitzgrald et Boldin (ARZ) contre les DBs de Pittsburg, et surtout façe au déjà légendaire Polamalu qui va devoir montrer tout son talent pour stopper les deux recevir préférer de Kurt Warner, qui aura peut être la protection divine, sinon on verra le 2ème QB, Leinart!
Les autres facteurs qui jouent toujours dans la balance sont :
L'Expérience des grand moments : En revanche, l'organisation des Steelers à une forte avance dans ce domaine avec plusieurs finales, ils voyagés 6 fois au Super Bowl pour en gagner 5! Cela laisse un avantage certains aux membres dirigeants, pour les joueurs, les speachs des anciens joueurs comme Terry Bradshaw peut aider à la motivation.
Justement qui est l'autre facteur, qui sera le plus motivé ? Cardinals ou Steelers? Les Cardinals de 2008 resteront dans l'histoire de la Franchise comme probablement la meilleur équipe, est-ce que mentalement le boulot est déjà accompli? est-ce que Ken Whisenhunt va se surpasser pour monter son potentiel dans l'élite du coaching NFL?
Côté Steelers, s'ils se comparent avec les grandes équipes du passé, ils sont loin d'entrer dans l'histoire de la Franchise? Comment dépasser les Steelers de 1972, l'année de la fameuse passe immaculée!
Celle dont Kurt Warner rêve, peut être?
La réponse à tout ça, le Dimanche 1er Févier, pour un match divin, on l'espère!!!
françois billault
Zona au Super Bowl, NFC Champs!
Un grand Fitzgerald, aidé d’un solide jeu au sol par Edgerrin James et Tim Hightower (le Rookie), ajouter à cela un Kurt Warner qui n’a pas fait d’erreur, tous ces ingrédients ont suffis pour que les Arizona Cardinals rentrent dans l’histoire. La dernière fois que cette franchise avait connu une finale de Conférence, c’était en 1947, quand ils s’appelaient les Cardinals de Chicago !
Ken Whisenhunt et de Todd Haley, le coordinateur offensif qui n’a jamais joué au football au niveau Universitaire et Pro. Retenez ce nom, je pense qu’il ira loin, car le jeu au sol sur les ailes « Strech » a fait beaucoup de mal à la Super D des Eagles, Il a réussi à bien masquer les jeux de passe en alignant 2 TEs.
Ont-ils signés la fin de Donovan McNaab à Phily? Car les fans des Eagles sont très durs!
François 1
Olivier 0
Le Grand Ménage a commencé...
Les heureux retraités sont Mike Holmgren des Seahawks et Tony Dungy des Colts.
Voici un récapitulatif, que nous allons maintenir à jour, cela va de soit !
Cleveland Browns : Romeo Crennel remplacé par Eric Mangini
Denver Broncos : Mike Shanahan remplacé par Josh McDaniels
Detroit Lions : Rod Marinelli remplacé par Jim Schwartz
Indianapolis Colts : Tony Dungy remplacé par Jim Caldwell
New York Jets : Eric Mangini remplacé par Rex Ryan (Assistant Head Coach/Coordinateur Défensif des Ravens de Baltimore)
Oakland Raiders : Lane Kiffin remplacé par Tom Cable (intérimaire pour l'instant)
St. Louis Rams : Scott Linehan remplacé par Steve Spagnuolo (Coordinateur Défensif des NY Giants)
San Francisco 49ers : Mike Nolan remplacé Mike Singletary (L'ancien LB des Bears de Chicago de la grande époque!)
Seattle Seahawks Mike Holmgren remplacé par Jim Mora (ancien Head Coach des Atlanta Falcons)
Tampa Bay Buccaneers Jon Gruden remplacé par Raheem Morris.
Kansas City Chiefs : Herm Edwards remplacé par ????
Nos pronostics pour les finales de Conférence !
- Olivier : Annonce un Super Bowl, Eagles vs Steelers
- François : Cardinals vs Ravens (juste pour dire l'inverse d'Olivier, mais on n'est pas à l'abri d'une surprise)
Interview de Ricky Williams par François B.
EliteFoot : Il semble que vous êtes le meilleur joueur en forme du moment dans ce camp d'entraînement, avez-vous placé la barre haute en termes d'objectifs?
EliteFoot : Pouvez-vous comparer Bill Parcells et Mike Ditka pour nous ?
Interview de John beck QB des Dolphins par François B.
John Beck is competing to the starter QB position, he was the fourthquarterback taken in the 2007 draft, form BYU University. John got a great deal of satisfaction serving a church mission in Lisbon, Portugal for almost 3 year, there also were many obstacles that he faced whilethere. He was only able to call home twice a year - on Mother's Day and Christmas Day.
Camp d'entrainement 2008 des Dolphins de Miami
Comme vous le savez Coach Parcells a la réputation de remettre sur les rails les équipes en plein déclin, tels que : les Giants de New York, les Patriots de la Nouvelle Angleterre, les Jets de New York et les Cowboys de Dallas et bien sur maintenant les Dauphins qui ont connu leur plus mauvaise saison depuis leur création en 1966. Ils ont effectivement finit leur saison avec une 1 victoire pour 15 défaites!
La moyenne d'âge a descendu, il ne reste plus qu'un dizaine de joueurs qui ont plus de 5 ans d'expérience, 8 joueurs ont plus de 30 ans et 17 joueurs ont plus de 12 matchs joués en 2007, autant vous dire que les Dauphins seront en couveuse cette saison!
Du coup, il a été échangé aux Redskins de Washington, pour un choix dans le 2ème tour de draft de 2009 et un sixième tour pour 2010.
Retrouvez l'interview de Coach Gagliardi par Olivier.
John Gagliardi est une légende du football. Non seulement par ce qu’il possède le record du plus grand nombre de victoires (443 !) de l’histoire de la NCAA et un pourcentage de victoires tout simplement indécent (78%) mais aussi est surtout par ce qu’il a atteint ces chiffres incroyables avec des méthodes de coaching uniques. (voir encart ci dessous après l’interview)
Coach depuis 54 ans (oui 54 ans ! ) à l’université St John dans le Minnesota (à ne pas confondre avec celle du même nom à New York City) il a coaché 4 équipes championnes nationales de NCAA DIV3 (la dernière en 2003), auxquelles on peut rajouter une équipe finaliste et 6 demies finalistes. Cette saison St John U. a encore atteint les ¼ de finale nationaux. Au passage SJU a glané 28 titres de champion de conférence et 39 rankings sur les 40 dernières saisons dans le top 20 national en fin d’année.
Déjà membre du « College Football Hall of Fame » (Class of 2006), il a également déjà été honoré par ses pairs qui ont donné son nom au trophée annuel remis au meilleur joueur de Div 3 (le Gagliardi Trophy).
Son équipe 1993 détient un record qui ne sera probablement jamais battu : Une moyenne de 61.5 points marqués par match
Sa carrière de coach débuta à l’âge de 16 quand l’entraîneur de son équipe de lycée du partir faire la guerre 39-45 ! Il repris les commandes de l’équipe et remporta 4 titres de conférence. A Carroll College, son premier poste de coach NCAA il fut aussi un brillant coach de l’équipe de basket et de base-ball et à SJU il a aussi remporté des titres de conférence en tant que coach de l’équipe de hockey et d’athlétisme ! Fait unique sans doute dans l’histoire du sport il a coaché à St John University un joueur et son …petit fils quelques décennies plus tard !
Les fans des Johnnies ne se lassent pas de ces saisons historiques à répétition (dernière saison avec une fiche négative : 1967 !) , ces 5 dernières années St John U a eu les meilleures moyennes de spectateurs de toute la Div3.
Et à 80 ans il ne veut toujours pas entendre parler de retraite….
John, comme il se fait appeler par ses joueurs nous a fait l’immense plaisir de répondre à nos questions :
Vous avez commencé votre carrière à l’âge de 16 ans, est ce que vous vous saviez déjà si tôt que ce serait le boulot de votre vie ?
Non, pas vraiment ! En fait j’étais un joueur comme les autres dans l’équipe de mon lycée. Quand notre coach a du partir faire la guerre, je me suis retrouvé coach par hasard. On a eu des bons résultats et j’ai commencé à me dire que ça pourrait être une bonne manière de continuer à faire partie d’une équipe quand je ne pourrai plus être joueur… L’histoire de toute ma vie c’est ça : J’aime le football !
Vous avez coaché non seulement des équipes de foot US mais aussi des équipes de base-ball, de basket, de hockey et même d’athlétisme, chaque fois avec beaucoup de succès, est ce que votre méthode est applicable à tout les sports ?
Je ne sais pas. Probablement. Je crois que le coaching ce n’est pas une question de méthode ou plutôt que c’est à chaque coach de trouver la méthode qui lui convient. Il y a des tas de façons de réussir. Coacher c’est un peu comme élever ses enfants, il n’y a pas de règles, chacun fait comme il le ressent et les résultats dépendent avant tout de votre personnalité, de faire les choses qui correspondent à ce que vous êtes. J’ai eu de la chance pour moi ça a toujours été naturel, c’est un peu un don.
Quant on lit vos « règles », on a l’impression que c’est un peu comme si vous disiez à vos joueurs : « jouez au foot comme quand vous jouiez au foot avec vos copains après l’école sans vous prendre la tête en vous amusant », c’est ça le secret Gagliardi ? Redevenir des gamins ?
Oui c’est un peu ça. Quand j’ai commencé j’étais juste un joueur qui coachait ses copains de lycée et qui jouait aussi lui même. Personne ne m’a appris le métier. J’ai fait ce que j’ai pu avec l’esprit d’un ado qui voulait s’amuser. Et je crois que c’est resté vrai pendant tout ce temps la.
Compte tenu de votre succès, comment expliquez vous que si peu de coaches reprennent vos méthodes ?
Vous savez la plupart des coachs sont d’anciens joueurs de grandes universités. Il y a souvent une relation père-fils qui s’instaure entre un coach et ses joueurs et logiquement la plupart de ces anciens joueurs reprennent les méthodes de leurs anciens coachs… D’ailleurs j’ai certains de mes anciens joueurs qui dirigent des équipes de high school et avec pas mal de succès en général.
Est ce que vous auriez pu faire aussi bien ailleurs ou est ce que St John’s était l’environnement parfait pour vous ?
St John’s est un endroit spécial et j’ai beaucoup de chance d’être devenu coach ici. Ici les critères d’admission sont très sévères, les jeunes qui viennent ici sont tous des « têtes », ils n’ont pas besoin d’être contrôlés, on peut leur faire confiance. Ils ne viennent pas pour le football, nous ne donnons pas de bourses sportives ici, ils viennent pour étudier. Je n’ai pas les problèmes de certains coachs des grandes facs qui ont des joueurs immatures, délinquants… Notre méthode fait confiance aux joueurs et ne leur donne pas de règles à respecter, les étudiants qui viennent à St John’s sont parfaits pour cette méthode car ils n’ont pas besoin de règles, ce sont déjà de jeunes adultes responsables.
Vous avez probablement eu beaucoup de propositions de grandes universités non ? Avez vous pensé quitter St John’s un jour ?
Oui j’en ai eu bien sur mais ça ne m’a jamais vraiment intéressé, je suis heureux ici. Je suis un gars de la campagne pas un citadin…J’ai hésité une seule fois, l’Université de San Diego (Les Toreros de SDU, Division IAA) voulait que je vienne. C’est vrai que le soleil de la Californie du Sud ça aurait été sympa. Mais c’était trop tard, j’étais déjà trop enraciné ici, ma vie est ici.
De quoi êtes vous le plus fier dans votre carrière ?
Le record de victoires évidemment c’est pas rien… Quelque chose qui m’a fait très plaisir c’est l’an passé, ESPN a fait un classement des 10 plus grands coachs universitaires de tout les temps et j’ai été classé 5ème . Me retrouver classé au milieu de tout les plus grands, ça m’a fait un peu drôle…
Que pensez vous de la première division qui reste accroché à son système de Bowls quand le système des playoffs fonctionne depuis si longtemps dans les autres divisions ?
Ils me font sourire. Ils sont toujours à dire « Ca ne peut pas être fait », comme si ce que nous faisons nous ce n’était rien, que nous n’existions pas ! La vérité c’est qu’avec les bowls il y a 15 ou 20 équipes qui sont contentes en fin de saison et qui surtout touchent un bon pactole. Avec des playoffs ils feraient peut être encore plus d’argent mais les gens n’aiment pas changer quelque chose qui marche et qui rapporte. Ils ne veulent même pas essayer…
Maintenant que votre saison est terminée, est ce que vous prenez quelques vacances avant de penser à la saison prochaine ?
Non pas tout de suite, je prends mes vacances comme tout le monde ici à la fin de l’année universitaire au début de l’été. D’ici là on prépare la saison prochaine et on accueille des lycéens qui visitent la fac avant de faire leur choix pour leurs études. Comme on a pas de bourses à leur offrir il faut être convainquant mais c’est surtout le niveau académique de la fac qui les pousse à venir ici ! La plupart de nos étudiants sont originaires de la région, un rayon de 50-100 miles maximum autour de St John’s. Ca me fait sourire quand je vois des universités qui recrutent dans tout le pays, des joueurs qui partent à 3000 miles de chez eux pour étudier… Il y a des joueurs de talent partout, dans le moindre petit lycée. Il suffit de les trouver, de les mettre dans les bonnes conditions pour réussir c’est tout. Je n’ai jamais manqué de talents et pourtant c’est la Sibérie ici et on a pas de bourses à donner !
Vous avez coaché plusieurs générations de jeunes américains, est ce que c’est plus facile ou difficile aujourd’hui ?
Comme je vous l’ai dit tout à l’heure, ici on est privilégié. Les étudiants qui viennent ici sont matures, intelligents compte tenu des critères de sélection de l’Université. Ce sont des gens bien et les gens bien restent des gens bien quelque soit l’époque.
Quels sont les coachs que vous admirez le plus dans le football ?
Oh il y en a des tas, c’est difficile de vous donnez une liste de noms comme ça ! En tout cas j’ai beaucoup de respect pour Bud Grant l’ancien coach des Vikings. C’est un type bien . Il n’a pas eu de chance, perdre tout ces Superbowls, c’est un peu injuste. En plus deux de ses fils ont joué pour moi ici et il est très attaché à cette région comme moi.
J’ai vu qu’il y avait un Damien Dumonceaux dans votre staff. Il est Québecois ?
D’origine oui ! Mais il a grandi ici. Son père est prof de math à la fac et Damien a été un de mes meilleurs DE. Il a eu son diplôme l’an passé et cette année il préparait le concours pour entrer en Médecine et il a travaillé avec nous cette saison comme assistant en défense. C’est un garçon brillant mais comptez pas sur lui pour venir coacher en France, avec ses études de médecine il va être occupé ces prochaines années ! J’ai beaucoup de respect pour les québécois et les cajuns de Louisiane. Ils ont su conserver leur langue, leurs traditions. J’aime bien leur style ! Et leur musique aussi !
Est ce que vous pensez prendre votre retraite un jour ?
Non, absolument pas ! J’ai la chance de faire un boulot que j’adore ! Il y a tellement de gens qui détestent leur travail! Moi je l’adore, alors je n’ai vraiment pas envie de m’arrêter ! C’est aussi pour cela que j’ai réussi, c’est facile de réussir quand on fait quelque chose qui vous plaît. Je coacherai tant que ma santé me le permettra. 20 ans encore si je peux ! Sur ma tombe j’aimerais qu’on inscrive « he loved coaching football » . Mais je n’ai vraiment pas envie de mourir !
Propos recueillis par téléphone par Olivier Rival le 13/12/06
La méthode Gagliardi
Anticonformiste, aux antipodes de l’image traditionnelle du coach « sergent chef » des universités américaines, John Gagliardi a bâti son succès sur le plaisir de jouer ensemble, la responsabilité individuelle et la confiance.
Il est arrivé à ces résultats incroyables sans aucun recruteur ni de bourse pour attirer les meilleurs. En éliminant le superflu et l’accessoire, en privilégiant les fondamentaux et l’exécution plutôt que le physique et l’agressivité il a non seulement fait de SJU une fac de gagnants mais aussi un modèle de sportivité, un temple du « beau football » et un des rares endroits dans le football universitaire américain où études (100% de diplômés dans ses équipes !) et sport sont pleinement complémentaires.
Les Règles du Coaching Gagliardi :
Les trois règles d’or :
• Il n’y a pas de manière unique de coacher le football
• Ne pas avoir peur d’être unique ou différent.
• Le Football n’est pas important. Les études le sont.
L’organisation de l’équipe :
• Pas de bourse pour les joueurs.
• Pas de recrutement en dehors du campus
• Aucun problème n’est insurmontable.
• Ne pas se perdre dans ce qui n’est pas nécessaire
• Pas d’objectifs, juste des ambitions.
• Ne pas vivre dans la gloire des saisons passées.
• Pas besoin d’un staff énorme
• Pas d’équipe B
• Restez discipliné
• Je suis « John » pas « coach »
• Ne pas humilier les joueurs.
• Tout le monde doit s’attendre à jouer.
• Pas de « bizutage »
• Toujours garder son sens de l’humour
• Ne pas compter sur la chance.
• Etre flexible
Pendant la saison :
• Pas de Capitaines.
• Pas de réunions réservées aux coachs
• Pas de réunions réservées aux joueurs
• Ne pas abuser de la vidéo
• Pas de « dress code »
• Pas de régime alimentaire obligatoire.
• L’équipe a le même réfectoire que les autres étudiants.
• L’équipe a le même dortoir que les autres étudiants.
• Pas de slogans.
• Pas de superstitions
• Pas de playbook
• Pas de statistiques affichées
• Pas d’articles de journaux dans le vestiaire
• Pas d’excuses
Les entraînements :
• L’entraînement n’est pas un camp militaire.
• Pas d’entraînement de plus de 90 minutes
• Pas de plaquage
• Pas de protections
• Pas d’exercices d’agilité
• Pas d’échauffement en groupe Chacun sait ce dont il a besoin pour être prêt..
• Pas de « blocking sled ».
• Pas de blocs.
• Pas de tours de terrain.
• Pas de série de sprints.
• Pas d’uniformes pour les coaches.
• On n’utilise jamais les mots "hit," "kill," etc...
• Pas de sifflets.
• Pas d’entraînements les dimanches et lundi.
• On n’engueule jamais les joueurs.
• Pas d’entraînement au printemps.
• Pas d’entraînement sous la pluie, dans le froid ou la chaleur.
• Ne jamais refuser à un joueur une pause.
• Pas de privilèges pour les seniors.
En dehors de la saison :
• Pas de meetings
• Pas d’entraînement ni de programme de muscu obligatoire.
• Pas de playbook à étudier.
• Pas de régime obligatoire.
Les matchs :
• Pas de matchs plus importants que d’autres.
• Ne pas en rajouter quand on marque.
• Pas de séquence de plays prédéfinie
• Pas de « Gatorade celebration »
• Ne jamais prononcer les mots « to kill ».
• Pas de trash talk toléré.
• Tout les joueurs en tenue.
• Tout le monde doit jouer si la victoire est acquise.
• Aucun mauvais geste toléré..
• On ne compte pas les plaquages en défense.
• Pas de repas d’avant match obligatoire
• Pas de repas d’après match obligatoire.
• Pas d’analyse sur ordinateur
• Pas de cheerleaders.